Ces mesures fortes sont contenues dans un communiqué signé ce 5 avril par le Pr Noël Emmanuel Essomba, directeur général de l’hôpital Laquinitinie de Douala.
La semaine dernière, l’hôpital Laquintinie de Douala, a été le théâtre d’une scène très peu ordinaire. La jeune dame concernée, selon la version des faits rapportés par le directeur général de l’hôpital, est arrivée dans le centre hospitalier pour « menace d’avortement tardif inévitable ».
Cette dernière expulsé un « fœtus non viable ». « L’action des stagiaires de l’hôpital ayant échappé à la vigilance de nos sages-femmes a malencontreusement abouti à l’évacuation de ce produit de conception dans le vidoir », ajoute le DG.
Seulement à son réveil, la jeune dame sera réfractaire aux explications données par ces dernières; s’ensuit alors une série d’incompréhensions.
Suite à l’incident survenu dans la nuit du jeudi 30 au vendredi 31 mars 2023 ayant entrainé une suspicion de vol de bébé, la direction de l’hôpital Laquintinie a pris 4 mesures conservatoires.
Entre autres, l’arrêt immédiat du stage académique de la nommée Fonlon Dzelamonyuy, élève de 4e année en soins infirmiers à l’école Polytechnic Higher Institute de Douala. (…) la suspension de toute activité à l’hôpital Laquintinie des nommées : Fotso Kamga, Sage-femme, Tchuendem Ariane Fabiola, Sage-femme »