Depuis la fin de la présidentielle au Cameroun, les artistes ayant chanté pendant la campagne du RDPC font l’objet d’une véritable « chasse aux sorcières » en Europe et en Amérique du Nord
La première victime est désormais connue, K-Tino, puisqu’il s’agit d’elle, vient de tomber sous les foudres de guerre la « brigade anti-sardinards»
En effet, le concert que devait donner la « femme du peuple » hier à Paris a finalement été annulé à la dernière minute, ceci sous la pression de cette nouvelle organisation au sein de la diaspora.
L’information a été confirmée par son promoteur qui, pour se justifier a évoqué un « problème d’insécurité »
En revanche, la chanteuse de Bitkusi très populaire annonce la tenue d’un autre spectacle le 31 décembre 2018, cette fois au Cameroun, au Cabaret Eurostar, du côté d’Oyom Abang, Yaoundé
Outre K-tino, Coco Argentée, Roméo Dicka, Papillon, Grace Decca, Ben Decca, plusieurs autres artistes sont sous le coup de cette « sanction »