C’est désormais une problématique pour le gouvernement de la république de remettre les choses en place du fait de la surpopulation de ce camp situé dans la région de l’extrême nord dans le mayo Tsanaga.
En effet, la gestion des milliers de réfugies qui se trouvent dans ce camp commence à devenir un vrai problème surtout en terme de coups financiers. Pour dire vrai, l’argent pour l’encadrement et la gestion alimentaires de ces personnes se fait de plus en plus rare, le Cameroun n’en peut plus tout seul et est à l’ agonie. C’est la raison pour laquelle le gouvernement est en quête de nouveaux appuis en vue d’accélérer les rapatriements volontaires et d’autonomiser ces personnes déplacées à cause des exactions de la secte islamiste Boko Haram. Il est donc clair que le gouvernement voudrait un accompagnement des autres pays de la sous-région et plus principalement du Tchad et du Nigéria afin de pouvoir efficacement aider ses réfugiés.