Sextape : Le SYNJIC invite tous les journalistes à protéger Martin Camus Mimb

Le Syndicat national des Journalistes indépendants (Synajic) demande à tous les hommes et femmes de médias de protéger le confrère Martin Camus Mimb, éclaboussé par une affaire d’abus sexuel sur la jeune Malicka.

Lire la communication d’Alex Koko, President du Synajic

Sans rentrer dans les détails notre valeureux confrère et meilleur journaliste de sport en Afrique est impliqué dans une affaire de mœurs qui s’est déroulée le 16 juin dans son bureau. De mon point de vue vous avez contribué à verser de l’huile sur le feu, oubliant qu’il s’agissait d’un des nôtres. Martin Camus Mimb a demandé pardon à l’opinion publique, à Malika et à sa famille en mondovision, malgré cela certains de nos confrères ont continué à le vilipender, oui, à le traiter de tous les noms d’oiseaux. Incroyable ! Notre grand confrère, reconnu sur le plan international pour ses qualités de grand journaliste mondial de sport a été jeté à la vindicte populaire par sa propre famille. Martin a fait la Une de nos tabloïds, la Une des journaux télévisés et radios. L’une de nos chaînes de télévision, en a fait son affaire personnelle au point de le passer en boucle dans toutes ses tranches, faisant fi de l’auteur de la diffusion de ses ébats sur la toile. La solidarité corporatiste voudrait qu’on ne livre pas à la vindicte populaire un confrère pour ses manquements

Tout en condamnant ce qui s’est passé, nous louons l’humilité de notre confrère Martin Camus Mimb qui s’est excusé pour cette malheureuse situation. Nous avons l’obligation morale de cultiver cet esprit de solidarité qui est l’une des valeurs fondamentales du syndicat des journalistes indépendants du Cameroun que nous souhaitons inculquer à tous les membres de notre corporation. Etre solidaire à Martin Camus Mimb, c’est démontrer aux yeux du monde que nous sommes une famille. Martin est non seulement un confrère, mais aussi un père de famille, un créateur d’emplois, un protecteur qui a besoin de nous plus que jamais. On ne le jette pas à la vindicte populaire, mais au contraire, on le protège. Un journaliste qui est en difficulté mérite en retour le soutien des siens. Martin mérite notre protection. C’est notre devoir, il fait partie des nôtres’,

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