Depuis son élection en tant que président de la Fédération Camerounaise de Football (Fecafoot), Samuel Eto’o a exprimé de grandes ambitions pour le développement du football au Cameroun. Cependant, malgré ses bonnes intentions, certaines de ses méthodes sont critiquées et remises en question. Il est devenu évident que pour atteindre ses objectifs, Eto’o doit revoir son management et faire le ménage autour de lui.
Un bilan en demi-teinte
Malgré sa renommée en tant que joueur de football légendaire, Samuel Eto’o a connu plusieurs revers dans ses affaires juridiques. Il a perdu des procès contre le coach Antonio Conceição, le coq sportif et au Tribunal Arbitral du Sport (TAS) dans les affaires Guibai Gatama, Panthère du Ndé et LFPC. Ces défaites soulèvent des questions sur les compétences de ses conseillers juridiques et la stratégie mise en place.
Des entreprises en difficulté
En plus de ses problèmes juridiques, les entreprises de Samuel Eto’o au Cameroun, telles que Betoo, et Fundesport, sont en difficulté. Ces échecs commerciaux soulèvent des interrogations sur la gestion de ses affaires et la viabilité de ses projets. Il est donc crucial pour Eto’o de revoir son management et de s’entourer de personnes compétentes dans le domaine des affaires.
La nécessité d’un changement
Pour atteindre ses objectifs en tant que président de la Fecafoot, Samuel Eto’o doit prendre des mesures pour améliorer son management. Cela selon Rebecca Enonchong pourrait impliquer de se séparer de conseillers juridiques incompétents et de recruter des professionnels expérimentés.
«Si j’étais le président Eto’o, j’allais un peu revoir certains de mes conseillers, surtout côté juridique. C’est quand même beaucoup de décisions contre la Fecafoot », célèbre entrepreneure et militante camerounaise des droits numériques, Rebecca Enonchong