Interpéllés le 05 janvier dernier par les forces de l’ordre camerounaise infiltrées au nigeria, ils sont au total 09 membres du gouvernement ambazonien detenus jusqu’à ce moment.
En effet,suite aux évenements du 01 octobre 2017,qui avaient donner lieu aux tortures et aux arrestations arbitraires dans les régions du sud ouest et du nord ouest du pays, l’ONG internationale amnesty internationale s’indignait contre ses pratiques dites inhumaines perpetrées dans ces régions dépuis le début la crise.
Comme nous fait rémaqué le journal du Cameroun.com dans son édition du 13 .10.2017,Amnesty internationale faisait déjà état de ce que, »les forces de l’ordre camerounaises aurraient arretés au moins 500 anglophones dans les régions du sud ouest et nord ouest depuis les évenements du 01 octobre 2017 et même apres ses évenements ».
La réaction de cet organisme de défense de droit de l’homme au lendemain de l’arrestation des leaders sécessionnistes n’est donc pas surprenante au regard de tout ce qui précede .
notons que, dépuis le début de de la crise en novembre 2016, l’ONG Amnesty internationale organisme de defense des droits de l’homme a toujours critiquer la méthode utilisée par le gouvernement de yaoundé dans la gestion de la crise.